vendredi 11 février 2011

Chronique super cholérique

Ah la fenêtre ouverte sur le monde !
La mienne, je vous jure, elle était murée. Quadruple vitrage anti effraction !
Par quel miracle est-ce que j'ai pu la rouvrir ? Honnêtement, je sais pas.
Pourrai-je la rouvrir ? Honnêtement, je sais pas.
Je profite donc du moment pour m'offrir un lavement cérébral qui aura au moins le mérite de me soulager s'il n'emporte pas un succès interplanétaire auprès des lecteurs.
Alors quoi que c'est dont au sujet duquel que je vais vous causer. Allez, je vous jette en vrac mes sujets d'irritation.
D'abord moi-même.
Que je m'en veux de trembler d'angoisse devant une machine conçue par un esprit humain (qui va pisser tous les matins après s'être gratté les c...), une machine qui, connaissant ma faiblesse, si son écran bleuté veut bien s'adresser à moi, m'affichera des insanités du style "format de fichier incorrect, un problème a été détecté, identifiant ou mot de passe incorrect ... quand ce n'est pas dans la langue de "j'expire" que je maîtrise autant que ma jeune chienne qui vient à l'instant de me bouffer ma troisième paire de pantoufles.
Ce que j'adore également, ce sont les mises à jour. Des fois que ça commencerait à fonctionner correctement, faut rajouter un petit truc qui va te foutre le bordel dans ce que tu pensais avoir à peu près acquis.T'imagines un gouvernement qui balancerait des réformes pour le seul plaisir d'emmerder le monde et de te montrer que tu n'es qu'un misérable pion ? Ah ben si au fait !
Ah non !!! comme disent les djeun's  "j'le crois pas". Mais c'est qu'elle m'en veut c'te putain de bécane.
"Le message n'a pas été enregistré en raison d'erreur de formulaire" qu'elle ose m'écrire. C'est quoi encore ce gag ?
C'est bon, je vais encore m’énerver à bidouiller et si je n'arrive pas à publier ce message, juré, demain j'achète des cartouches pour mon waterman !

1 commentaire:

  1. Sois gentil avec ta machine, elle est susceptible... et elle ne demande qu'à répandre sur la toile les couleurs et les humeurs de ta plume que nous guettons avec impatience.

    RépondreSupprimer