N'en déplaise à Jonas je vais encore balancer un coup de gueule.
Et c'est qui qui va morfler aujourd'hui ?
Un qui m'a déçu profondément : Mr Azouz Bégag.
Qu'un écrivain comme lui se commette dans un gouvernement comme celui de D. de Villepin, j'avais du mal à l'admettre mais bon, il était sympa et avait l'air d'y croire.
Quand il a été licencié sur insistance de Mr Sarkozy, je me suis rué sur le bouquin qu'il a écrit : "un mouton dans la baignoire". Il y règle des comptes et avoue avoir été "l'arabe de service" destiné à amadouer une partie de l'électorat hésitant de demi- droite.
Mais voilà, je l'ai retrouvé l'autre jour en invité vedette dans une émission de Canal (ouais Canal+ ça fait ringard). L'émission, je l'ai prise en cours et je me suis retrouvé devant un pitre pitoyable qui prenait systématiquement l'accent maghrébin pour ne pas répondre aux questions et a même osé asséner "il faut augmenter le pouvoir d'Aïcha" que Smaïn avait glissé il y a une dizaine d'années dans un de ses sketches.
Alors Mr Aziz Bagouze (comme l'appelait Chirac dans les Guignols : moi je cite mes sources !), je vous le dis tout net je ne vous suis plus. Vous vous êtes prostitué dans un gouvernement où vous n'aviez rien à faire et maintenant vous êtes prêt à montrer votre ... pour faire résonner les trompettes de la renommée. Quelle déception !
Faites-moi (faites-vous) plaisir, retournez à votre clavier ou à votre plume, c'est uniquement grâce à ça que vous pourrez vous faire un nom.
Et ben n'en déplaise à Jonas, moi je dirai qu'il est tout à fait normal de pousser des coups de gueule régulièrement, parce que si on ne s'oppose à rien, alors on a rien à dire. L'écriture ne subsiste que parce qu'on apprécie ou pas quelque chose. Jean, c'est Grand Corps Malade et Sarkozy. Moi, c'est The Andrew Sisters (à venir sur mon blog) et mon ex prof d'anglais. Chacun son truc quoi.
RépondreSupprimerBy the way Tonton, c'est le combientième article ? :)
Terrible maladie que celle du pouvoir, elle avilit tous ceux qui l’approchent.
RépondreSupprimerMême Azouz va y laisser sa Plume.
Triste résultat d’une société ou le pouvoir dont on fait l’apologie est une fin en soi, mais aussi une fin de soi et surtout la fin de Nous.
Comment faire, avec ce genre d’exemple, pour apprendre aux jeunes la solidarité, le respect des autres et surtout le plaisir de donner…
Je sais, ce ne sont que des mots, mais ce sont nos maux…
Allez Jean, lâche un peu les bécasses et fais nous un de ces articles dont tu as le secret pour nous chatouiller les méninges.
Bonne année grand frère !
RépondreSupprimerN'en déplaise à mon fiston , moi , je sais comment on fait le o et le e liés...et je le prouve: meilleurs
vœux de ta petite sœur ! Ah ah , ça vous épate , hein !